L'odeur de la fumée, un relent de viande et de graisse cuite, la pénombre d'un palais de bois, de terre et de pierre. Un homme aux cheveux longs et clairs est attablé et mange nerveusement. Dans son dos, la silhouette de son trône luxueusement travaillé. Les serviteurs ont quitté la pièce, congédiés par le roi dans un accès de colère. Ils attendent sans doute tremblants aux portes de la pièce qu'on les somme de débarrasser les reliefs de nourriture que le souverain aura éparpillés autour de lui. Peau, os brisés, tout est champ de bataille.
"L'incursion des Fomors sur nos terres est inacceptable. L'Irlande est retraite des Béliers et elle le restera. Tu vas délivrer ce message aux Vivants, Cuchulainn : chaque Fomor qui posera le pied sur l'île sera défié et vaincu ! Va porter ma parole, chien fougueux ! Va porter ton art millénaire de Bélier dans le corps de ces fous ! Va porter ton bras initié et la colère de la Branche Rouge ! A ceux qui cherchent la non-mort, tu n'apporteras qu'une seule réponse : la mort."
"L'incursion des Fomors sur nos terres est inacceptable. L'Irlande est retraite des Béliers et elle le restera. Tu vas délivrer ce message aux Vivants, Cuchulainn : chaque Fomor qui posera le pied sur l'île sera défié et vaincu ! Va porter ma parole, chien fougueux ! Va porter ton art millénaire de Bélier dans le corps de ces fous ! Va porter ton bras initié et la colère de la Branche Rouge ! A ceux qui cherchent la non-mort, tu n'apporteras qu'une seule réponse : la mort."
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